Adient

Aujourd’hui, nous avons réduit de 97% notre consommation de papier grâce à l’élimination de 800 documents papier.

Comment abordiez-vous la gestion des compétences avant AG5 ?

Nous avions l’habitude de gérer la formation professionnelle dans l’usine à l’aide d’Excel. Cela nous donnait beaucoup de travail administratif, et nous avions une énorme quantité de feuilles de calcul. Nous utilisions environ 800 documents en deux équipes et, naturellement, nous faisons des erreurs.

De plus, lorsque des auditeurs voulaient consulter certains documents, il arrivait souvent que des parties de ceux-ci étaient perdues, car des équipes en avaient besoin et oubliaient de les remettre en place.

Pourquoi avez-vous décidé de commencer à utiliser un logiciel de gestion des compétences ?

La mise en place d’un nouveau processus impliquait tant de travail administratif, que tous les employés n’étaient pas formés correctement. Ils auraient donc pris du retard dans les séances de formation. Deux possibilités s’offraient à nous : ajouter des formateurs ou faire face au problème et commencer à travailler plus efficacement.

Nous avons 288 usines aux quatre coins du monde, et quand j’ai été voir ce que d’autres usines faisaient, j’ai été choqué. Tout le monde semblait confronté au même problème. J’étais soulagé de voir que dans l’usine de Liverpool, nous ne faisions rien de façon incorrecte ; nous agissions simplement comme tous les autres. Mais j’ai réalisé que nous pouvions faire mieux.

Comment avez-vous sélectionné un nouveau système ?

Personne n’aime le changement, et encore moins les gros changements. Au début, j’ai plutôt découragé le personnel en leur disant qu’Excel allait disparaître. Ils se demandaient, « Mais qu’allons-nous utiliser à la place ? »

Ensuite, nous avons retenu trois progiciels de gestion des compétences. De ces trois-là, AG5 répondait clairement à tous nos besoins dans l’analyse PUE : le coût, l’utilisation du système, la simplicité, les résultats, les rapports, ainsi que la capacité de partager des informations via n’importe quelle plate-forme dans tous les départements de l’usine, sans contamination ni perte de données.

Quelles sont les économies ?

Chez Adient, nous nous engageons fortement pour la durabilité. Comme vous pouvez l’imaginer, 800 documents sur le lieu de travail, cela demande une grande quantité de papier. La connexion numérique à l’application élimine 97% du papier utilisé dans notre usine, ce qui nous permet d’économiser environ $20.000 par an. Aujourd’hui, les employés se déplacent simplement avec une tablette ou un téléphone portable. Cela leur fait également gagner 3 heures et demie par jour. Nous avons trois formateurs, ce qui correspond à une économie de 1 ETP.

Pouvez-vous donner un exemple d’amélioration ?

Les techniciens de l’équipe de qualité sont testés chaque année pour le daltonisme, ce qu’ils auraient suivi autrefois dans Excel et sur papier. Quand j’ai appris ça, il m’a fallu 15 secondes pour saisir la qualification dans le système, l’attribuer à toutes les personnes concernées et créer le flux de travail.

Ensuite, je leur ai demandé de me donner tout ce qu’ils utilisent généralement pour le suivi sur papier, puis je l’ai chargé dans AG5. Je leur ai ensuite expliqué que dans 11 mois, ils recevraient tous une notification automatique pour suivre cette formation spécifique et qu’ils n’auraient donc plus du tout besoin de papier ! Ils sont restés les bras croisés, perplexes – mais très heureux !

Pour votre organisation, à quoi ressemble une journée classique d’utilisation d’AG5 ?

Nous avons une vue d’ensemble des formations sur un grand écran de 70 pouces dans notre usine. Je peux y voir exactement les employés ou équipes qui ont besoin de suivre une séance de formation particulière.

Je travaille avec AG5 chaque matin pour approuver des séances de formation qui ont lieu. Je garde aussi un œil sur les personnes qui reviennent d’absences de longue durée, car elles doivent être formées ou recyclées dans certaines compétences fondamentales et informées de changements qui ont eu lieu dans les usines. Ainsi, elles peuvent retourner sur leurs machines en étant parfaitement au courant de tout.