Busch

Quelle était la situation avant AG5 ?

Deux fois par an, je lançais un appel aux responsables en leur demandant de me fournir leurs matrices de compétences afin que je puisse procéder à des vérifications croisées et rechercher les déficits de compétences. J’avais de la chance si j’en récupérais quatre ou cinq. De nombreux déficits de compétences étaient invisibles pour moi.

Nous devions automatiser ce processus. AG5 est apparu lors d’une recherche sur Google, et nous avons immédiatement pris contact. Busch est une multinationale, mais chaque pays a sa propre autonomie. J’ai donc pu mettre en œuvre AG5 au Royaume-Uni.

Nous disposons d’un portfolio très diversifié de solutions de mise sous vide, et nos ingénieurs de terrain doivent connaître parfaitement tous ces produits pour pouvoir se rendre sur place et les dépanner ou recommander de les envoyer à l’atelier pour les réparer. C’est pourquoi certaines de nos matrices de compétences sont énormes.

Comment les choses ont-elles changé avec AG5 ?

Pour l’accréditation ISO, nous obtenons des audits de qualification. Par exemple, lorsque le site d’East Kilbride fait l’objet d’un audit, le responsable des opérations sait désormais qu’il peut aller dans AG5 et montrer le certificat. Voici les compétences et la manière dont les déficits de compétences vont être comblés. Cela nous aide donc à conserver notre certification.

Cela a également modifié la culture de l’entreprise. Aujourd’hui, lorsque les employés suivent une formation qui exige d’être plus ou moins qualifié, ils le font directement dans AG5, et je suis toujours là pour détecter les écarts et les lacunes, et les pousser à le faire. Tout le monde a dit que c’est beaucoup mieux que ce que nous avions avant, personne ne s’est montré négatif. Tout le monde est d’accord : c’est vraiment bien.

C’est plus efficace en raison de la facilité d’accès et d’utilisation. Un clic, deux clics, et voilà. C’est pourquoi tout s’est très bien passé.

Nos nouvelles matrices de compétences ont entraîné un changement culturel, et tout le monde dit que c’est beaucoup mieux qu’avant.

Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans AG5 ?

Personnellement, j’apprécie le fait que nous puissions fixer un niveau de compétence minimal. Et lorsque je constate que quelqu’un doit encore atteindre cette compétence minimale dans l’AG5, je vais voir ce responsable et je fais le nécessaire. Alors que dans un document Excel, il n’y a pas de visibilité et il n’y a donc pas de volonté de combler ce déficit.

AG5 a obtenu l’adhésion des responsables et des directeurs généraux. Comme le directeur général voit aussi les déficits, il me soutient pour mener à bien ce changement.

Tout le monde y a désormais accès et peut y enregistrer des résultats. Nous les rendons donc responsables de l’apprentissage et du développement de leurs équipes et des preuves correspondantes.

Tous les responsables qui disposent aujourd’hui d’une matrice en direct se sont entretenus avec moi, je leur ai montré comment utiliser le système, je leur ai expliqué les notifications d’expiration et je les ai encouragés à utiliser ce système parce que je les suis. Ainsi, ce n’est pas seulement facile à utiliser, mais les déficits de compétences sont également bien visibles.